Voir
aussi : Les installations haineuses
(pinacothèque
infernale). |
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« Ce
que je suis
en train de vous dire, c’est que le climat que nous avons
entre guillemets « trouvé
en entrant », comme la propreté des
toilettes, quand nous avons démarré
notre activité industrielle, il est perdu à
jamais, il ne reviendra jamais… il
ne reviendra jamais. On peut faire ce qu’on veut, la danse de
la pluie — c’est
le cas de le dire —, prier, invoquer, avoir heu
tout… jamais ! C’est fini.
C’est terminé. D’accord ? Ad vitam æternam ce qui reste à vivre du temps de
l’humanité — c’est
pas sûr que ce sera dix-mille ans au train où vont
les choses — se fera dans un
climat qui aura définitivement changé par rapport
à ce qu’il était avant la
période industrielle. » |